• La marchande de lait

     

     

    la marchande de lait
     
    dès le XIIIe siècle, les paysannes venaient des environs, apporter le lait aux Parisiens


     
      
    comme on peut le voir dans cette oeuvre de Louis-Léopold Boilly les enfants faisaient la "queue au lait" dès que les laitières arrivaient en ville en criant
    "la laitière, allons, vite"
     
    dans les années 80 - 1780! la reine Marie-Antoinette mit le lait au goût du jour au hameau de Versailles mais aussi à la laiterie du château de Rambouillet
     
     
     
     
    Laiterie de la Reine - Château de Rambouillet
     
     
    Un peu d'histoire : la laiterie a été construite par Louis XVI pour sa femme, la Reine Marie-Antoinette, qui s'ennuyait lorsqu'il résidait à Rambouillet pour chasser. Il eut l'idée de lui faire construire cette "laiterie" toute en marbre et au mobilier précieux (aujourd'hui au Petit Trianon) pour déguster le lait directement des animaux.
     
     
     

     

     

    Derrière une grille, on y découvre une laiterie magnifique, un temple blanc à la gloire des produits laitiers qui étaient à l'époque des produits de luxe. Le roi Louis XVI a fait construite en cachette cette laiterie pour sa femme Marie-Antoinette. La première salle, en forme de rotonde et sous une coupole est une salle de dégustation et la seonde salle, dite de rafraichissement est une grotte artificielle avec une scultpure en marbre "la nymphe à la chèvre".


    En savoir plus sur http://www.paperblog.fr/6017225/visite-du-chateau-de-rambouillet-sa-laiterie-et-sa-chaumiere-aux-coquillages/#E3wAl453ThmxadGr.99

     

     
       

     

     
      
    elle allait boire du lait chaud dans sa "vacherie", mode qui s'étendra jusqu'aux Champs-Elysées
    elle se servait d'un bol-sein
     

     
     

    Revenir en haut Aller en bas

     

    « Le VETEMENT sous LOUIS XVILe petit théâtre de Marie-Antoinette »
    DeliciousGoogle Bookmarks

    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires

    Vous devez être connecté pour commenter