• HOLOCAUSTE NATIONAL - la révolution française

      

     

      

    Monsieur le Pésident

     

    Vous organisez depuis plusieurs années autour du 14 juillet et de la prise de la Bastille.

     

    Mis à part le ridicule que représente le choix de cette date comme fête nationale et de ce symbole, l'ouverture des portes d'une prison quasi vide,

    (sept prisonniers: quatre faussaires, dont le procès était en cours d'instruction ; deux fous, Auguste Tavernier et de White ; un noble, criminel, enfermé à la demande de sa famille, le comte de Solages)

     

    à tel point que les "révolutionnaires" d'aujourd'hui disent qu'il s'agit là de l'anniversaire de la Fête de la Fédération

    (14 juillet 1790 ! elle-même anniversaire de quoi?)

      

    je voudrais vous faire part de l'aspect monstrueux de ce que j'ai entendu sur les antennes du service public, France-Info en l'occurrence: ce que les organisateurs de la fête et probablement les instituteurs font mettre dans la bouche d'un enfant de 4 ans (je dis bien de 4 ANS!) coiffé du bonnet phrygien: à la question :
     

      

    Que fais-tu ? Le bambin répond:

      

    moi, je vais tuer le Roi !


    Je ne doute pas, Monsieur le Président, que vous aurez le courage de publier dans le bulletin NATIONAL

    le document ci-joint:


    "Le bilan de la révolution et de l'empire" et d'apprendre à votre bambin, vous qui êtes sans doute un farouche défenseur de la démocratie élective, qu'en 1789, il aurait été absolument minoritaire (et donc il aurait eu tort comme le disait Laignel !) puisque les Français étaient royalistes à 98%.

    J'ai bien l'honneur, Monsieur le Président, de vous souhaiter bonne réception de ce courrier.
    * * *
     

      

      

    Français, voyez ce que vous fêtez en ce 14 juillet :

    BILAN
    «Les Français se sont montrés les plus habiles (révolutionnaires)
    artisans de ruine qui aient jamais existé au monde.

    Ils ont entièrement renversé leur commerce et leurs
    manufactures. Ils ont fait nos affaires, à nous leurs rivaux,

    mieux que vingt batailles n’auraient pu le faire »
    E. Burke


    Ce que l'on vous cache...
    Facture Humaine

    - 2 millions de morts entre la révolution et l'empire
    - La démographie française s'écroule
    - La catastrophe équivaut aux 2 guerres mondiales alors que la France n'a que 27 millions d'habitants...
    - La France n'était plus envahie sur son territoire depuis Louis XIV ; et Louis XV
    rajouta la Lorraine et la Corse en ne perdant que quelques centaines d'hommes...
    -Les conflits de la « guerre en dentelle » comportaient des règles
    d'humanité.

     

    Ces guerres étaient le fait d'armées de métier, de professionnels. La révolution créa la conscription et la guerre totale où femmes et enfants seront
    directement impliqués... «Promotion démocratique de l'holocauste »


    - Invasions dès 1792, 1814, 1815...Guerres civiles, massacres, guillotine pour les suspects, port obligatoire de la cocarde, carnages et populicide en Vendée, fours et tanneries de peaux humaines...

    L'Assemblée Nationale révolutionnaire avait pourtant pris l'engagement solennel de n'attaquer la liberté d'aucun peuple et de n'entreprendre aucune conquête.
    Au lieu de cela, la révolution fit entrer la France dans 23 ans de guerres
    (excepté le bref intermède de la Paix d'Amiens et la 1ère Restauration)

    La France restée royaliste ne veut pas de la « levée en masse » ;
    le pays flamand renâcle (Les paysans du Nord pendant la Révolution de Georges Lefèvre)

    - Vers Cambrai : « A Morbecque, les femmes s'attroupent, puis les hommes arrivent, armés de bâtons ferrés et de fléaux, criant : vivent les aristocrates, au diable les patriotes ! ».
    Même chose à Steenbecque, Meteren, Meris,Blaringhem, Boenghem, Sercus et dans tout le canton de Steenvoorde.

    « A Hazebrouck même, une bande de 400 à 500 paysans attaquent le corps de garde... »

    La révolution est obligée de payer cher pour avoir des volontaires ou de donner des biens nationaux...

    La révolution et l'empire « nettoieront » la France de sa jeunesse et quand il n'y en aura plus, l'Empire mobilisera ce qu'elle appellera les « Marie-Louise », les tout jeunes conscrits, presque sans instruction militaire qui seront décimés (quasi exterminés) à la boucherie de Leipzig.


    « Un homme comme moi aurait dit Napoléon à Metternich, ne regarde pas à un million de morts. »

    La période révolutionnaire coûta environ 400.000 morts.


    Napoléon rajouta


    6.000 morts à Marengo,

    8.000 à Austerlitz,

    10.000 à Eylau,

    15.000 à Essling,
    30.000 à Wagram, 300.000 avec l'Espagne et la guerre civile, 10.000 à la Moskova,

    la Bérézina 7.000 sans les disparus.


    Sur les 650.000 hommes passant en Russie,

    100.000 reviendront, 100.000 seront prisonniers et

    300.000 périront sous la mitraille, la misère ou le froid...

    En 1813, ce seront encore 250.000 hommes,

    Dresde 9.000,

    Leipzig 60.000 et enfin

    Waterloo avec environ 26.000.

    La désertion
    On se mutile ou on se révolte.

    En 1811, on compte 60.000 hommes cachés dans les bois.
     

    En 1812, les mutineries s'organisent dans plusieurs villes de France.

     

    Les étrangers mobilisés s'enfuient, Suisses, Croates, les Portugais puis les Polonais ; 50.000 désertions pendant la campagne de Russie.


    Au total, de 1789 à 1815, nous avons 1.400.000 victimes, 400.000 pour la révolution, 1 million pour l'empire auxquels il faut rajouter les morts de la Terreur et de la Vendée.

      

    Les émigrés ne sont pas forcement les nobles, car paysans, bourgeois, prêtres fuient et seront 10.000 en Angleterre et 6.000 en Espagne, les aristocrates à Turin ou à Coblence où ils prennent les petits métiers pour survivre.


    Combien sont partis ? environ 200.000 personnes...
    La Révolution, une véritable purge.

    LA Septembre 1792, la Révolution décide d'égorger les suspects :


    - 150 à 200 à l'Abbaye
    - 300 à la Conciergerie
    - 180 à la Force
    - 215 au Châtelet
    - 115 aux Carmes
    - 200 à Bicêtre dont 33 enfants...
    - 72 aux Bernardins
    - 75 à St Firmin
    ...1.300 morts pour Paris en 4 jours


    Les exécutions par guillotine postérieures à Thermidor : 2.639 personnes.


    Et la province


    A Toulon, Fréron se vante de faire tomber 200 têtes par jour, sans conception d'âge ni de sexe.

    A Marseille, Barras ne se fait pas prier pour exécuter...

    Dans le Vaucluse, les villages flambent devant les colonnes républicaines de Maignet.

     

    A Quiberon, en juin 1795, 950 prisonniers à qui on avait promis la vie sauve ; Hoche les fusillera au Champ des Martyrs.  

      

    A Orange, 332 exécutions ;

    à Lyon, Collot d'Herbois exécute 1.684 personnes dont 60 jeunes gens dans la plaine des Brotteaux (dans d'ignobles conditions...).

    à Bordeaux, c'est Tallien, à Cambrai c'est Lebon et ses «fricassées de têtes ».

    A Arras on massacre sous l'air du « Ça ira»

    Les estimations diront 35.000 victimes...

    28% de paysans,

    31% d'artisans et ouvriers,

    20% de marchands,

    8 à 9% de nobles et

    6 à 7% pour le clergé.



    «Il n'y a plus de Vendée ! Elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l'enterrer dans les marais de Savenay.

    J’ai écrasé les enfants sous les pieds de mes chevaux, massacré les femmes qui n'enfanteront plus de brigands.

    Je n'ai pas un prisonnier à me reprocher.


    J’ai tout exterminé...Les routes sont semées de cadavres.

    Il y en a tant que sur plusieurs points ils font des pyramides»

    (Westermann)

    La Vendée comme de multiples endroits en France, s'est révoltée contre la conscription, le « ras le bol » des persécutions religieuses et pour défendre le roi.


    Déjà à l'époque, on essaie de prendre soin de la publicité.
    Lors de la libération des 5.000 prisonniers républicains par les royalistes, la consigne est stricte ;

      

    écoutons Merlin de Thionville :


    «Il faut ensevelir dans l'oubli cette malheureuse action. N’en parlez même pas à la Convention. Les brigands n'ont pas le temps d 'écrire ni de faire des journaux. Cela s'oubliera...»

    « Nous fusillons tout ce qui tombe sous notre main » dit l'adjudant général Rouyer
    « Je continue de brûler et de tuer tous ceux qui ont porté les armes... »

    (Turreau)
    « J'ai brûlé et cassé la tête à l'ordinaire »

    (Nevy)
    « L'armée de Brest à tué 3.000 femmes »

    (représentant Garnier)
    « Pères, mères, enfants, tout à été détruit. »

    (commandant Perignaud)


    «J'ai égorgé tous les habitants ! »

    (Duquesnoy)
     

    « à coup de baïonnettes 600 des 2 sexes »

    (Cordelier)

    La technique d'Oradour est multipliée à l'excès.


    Au Mans, décembre 93, on fusille, on écrase les enfants, on viole les femmes.

    On introduit des cartouches dans les corps auxquels on met le feu.

    On embroche les femmes encore vivantes avec des fourches.

    Le lendemain on fait des battues...

    A Nantes, on fusille mais pour Carrier, il faut mieux.

      

    On coule un navire avec 20 prêtres.

      

    On prend des bateaux à fonds plat et on crée les déportations verticales. Chaque jour 100 à 200 personnes seront noyées. On attache des couples, parfois dans des positions obscènes et on pratique ce que l'on appel les «mariages républicains» dans la Loire devenue pour l'occasion la
    « baignoire nationale ».

      

    C'est environ 4 à 5.000 personnes qui périront ainsi, noyés, hommes, femmes et enfants.

    De même à Angers, on jette dans la Loire, en 3 jours, 800 personnes au Pont de Cé.

    A Quiberon, en juin 1795, 950 prisonniers à qui on avait promis la vie sauve ; Hoche les fusillera au Champ des Martyrs.
     

      

    Carrier dit :
    «Nous ferons de la France un cimetière plutôt que de ne pas la régénérer
    à notre façon.» Cette guerre civile est difficile à évaluer car dans toute la France la révolte a tonné. Des déportations du Pays Basque à Lyon en passant par Marseille, des révoltes du Sud Ouest à la Normandie, en passant par la Bretagne et la
    Vendée, sans oublier d'autres régions comme le Nord et la Corse. Il faut compter au bas mot 400.000 morts...


    L'addition est faite, triste et macabre :
     

    La Révolution a coûté :
    400.000 morts pour les guerres jusqu’en 1800
    1.000.000 pour Napoléon
    600.000 pour les guerres intestines
    soit 2.000.000 morts


    Nous laissons le mot de la fin à Napoléon, le soir d'Eylau :
    « Une nuit de Paris réparera ce carnage »


    (Faudrait-il parler des tanneries de peaux humaines et les fours où les révolutionnaires brûlaient les Vendéens vivants...Voir les travaux de Reynald Sécher, les mémoires de G. Babeuf...)

    Après ça vous pouvez continuer à trouver bien la révolution française et être heureux qu'elle serve d'exemple aux autres pays, mais vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas ce qu'a été vraiment la révolution française.

      

    Certaines personnes penseront cyniquement que c'était le prix à payer pour que la France devienne une démocratie, je leur répondrai que l'Angleterre en est également une et qu'elle n'a pas eu à faire 2 millions de morts pour en arriver la !

    J'en profite pour rendre hommage aux 98 soldats français morts pour rien en Afghanistan et à nos MILITAIRES qui sont tombés au MALI... au nom du MONDIALISME !

    Je vous laisse méditer....

     

     http://urbvm.com/histoire-de-nos-regions/genocide-vendeen/

     

      

    « TANNERIES de PEAU HUMAINE pendant la REVOLUTION FRANCAISE La FLEUR de LYS »
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